C'est comme la fin du siècle
On aura tout compris
Même les shérifs ceux
qu'on achète
On les distingue mal des bandits
On a tout eu
Ce fut un
siècle formidable
Quelques malentendus seulement
Des histoires, des
histoires
Garde les yeux ouverts
Que tout y passe au moins
Chéri,
donne pour la paix
Car moi je veux que tout aille bien
C'est comme ces
fumées rouge-oranges
Des rubans qui s'étranglent
Autour de mon cou c'est
étrange
on pourrait brûler
Ahh Avaler
le grand déversoir des images
cyniques
A boire à plein tube
Cathodique
Attendez-moi
j'avais envie
de venir aussi
Mais voyez-vous ça va trop vite
N'allez pas si
vite
Mon vieux numéro
Y'avait les drapeau du grand soir
Yen avait
des rouges, y'en avait des noirs
Aussi loin
Que je me souvienne,
loin!
Quand les missiles montaient tout droit
Au ciel
Nous on veut
de la vie
Longtemps, longtemps, longtemps
longtemps
Longtemps,
longtemps, longtemps
Il y a qu'on nous prépare
A une énième
révolution
D'ordre
Spectaculaire
Venez voir
Des réseaux résolus
A
câbler l'infini,
Et l'univers
Vibrillonant de mille
éclairs
Aujourd'hui
acclamez siouplait l'homme nouveau
On verra
bien s'il est plus beau
Et pour un jour de gloire
Il n'y a pas de place
pour le doute
En cas d'échec ou de déroute
On pourra toujours s'adresser
aussi
Au ciel
On veut de la vie
Longtemps, longtemps,
longtemps
longtemps
Longtemps, longtemps, longtemps
Enclenchez la
fonction mémoire
il faut produire et
reproduire encore
ça n'a pas de
fin
Que ce soient tes veines
Ou des circuit d'ordinateur en
pleine
possession de nos moyens
A chacun sa prière
Sa nouvelle aube
mystique
Et pas le temps pour qu'on s'explique
Ouvrez les
royaumes
Crevez les plafonds, il y a des chances
Pour qu'on nous
expédie
Au ciel
On veut de la vie
Longtemps, longtemps,
longtemps
longtemps
Longtemps, longtemps, longtemps
Au bistrot comme toujours
il y a de beaux discours
Au poteau les
pourris, les corrompus aussi
Dents blanches et carnassiers
Mais à la
première occasion
chacun deviendrait le larron
de la foire au pognon oui
qui se trame ici
Allez danse avec Johnny
Se rappellent de la
France
ont des réminiscences
De l'ordre, des jeux, d'l'essence
quand on
vivait mieux
Il y avait Paul et Mickey
On pouvait discuter mais c'est
Mickey
qui a gagné
D'accord, n'en parlons plus
Un autre jour en
France
Des prières pour l'audience
Et quelques fascisants autour de
15%
Charlie défends-moi !!!
C'est le temps des menaces
On a pas le
choix pile en face
Et aujourd'hui, je jure que rien n'se passe
Toujours un
peu plus
F.N, souffrance
Qu'on est bien en France
C'est l'heure de
changer la monnaie
On devrait encore imprimer le rêve de l'égalité
On
n'devra jamais supprimer celui de la fraternité
Restent des pointillés...
Yeah, Yeah, Yeah !!!
Sous la lumière en plein
et dans l'ombre en silence
si tu cherches un
abri
Inaccessible
Dis toi qu'il n'est pas loin et qu'on y brille
A
ton étoile
Petite soeur de mes nuits
ça m'a manqué tout ça
quand tu
sauvais la face
à bien d'autre que moi
sache que je n'oublie rien mais
qu'on efface
A ton étoile
Toujours à l'horizon
Des soleils qui
s'inclinent
comme on a pas le choix il nous reste le coeur
tu peux cracher
même rire, et tu le dois
A ton étoile
A Marcos
A la joie
A
la beauté des rêves
A la mélancolie
A l'éspoir qui nous tient
A la
santé du feu
Et de la flamme
A ton étoile
Ernestine
j'en ai connu des comme toi
un peu plus fines
un peu moins
sûres de leur loi
Un de plus
C'est dans les us
Du pays des
sortilèges
Parfum de Chine
Ou bien de n'importe quoi
Et ton
Austin
Qui of course ne démarre pas
Dors c'est mieux
Ou cherche des
yeux
le prochain clown qui te guette
Ernestine, Ernestine
Tu
entends des voix, reste digne !
Ernestine
Les places sont chères
ici-bas
Le chant des cimes
S'atteint ou ne s'atteint pas
Passent
les nuits
Chassent les bruits
Il y en a d'autres qui te
suivent
Ernestine, Ernestine
Ernestine, Ernestine
A se changer en Roi
A hurler à la lune
A traquer la fortune
Tout ça
pour trainer son poids
Au risque de s'y plaire
Au moment de s'y
croire
Sonnez les courants d'air
Faites donner l'exutoire
Il faudrait
qu'on s'élève
Au fond il a d'la classe
Ou alors qu'on prenne la
sève
Comme elle vient
encore et encore
Tu vois la belle
bleue
Des feux de l'artifice
Et tu la sens même un peu mieux
A la
faveur d'une éclipse
On voit du jour au lendemain
Que ça ne s'invente
pas
Reprendre de volée d'aussi loin
Comme elle vient
encore et
encore
Comme elle vient
Comme on peut
C'est cruel et sans
fard
Ca choisit pas, merci pour eux
Comme une flèche
Comme un
pieux
C'est bon pour la mémoire
Ca vous fait quoi d'être au milieu?
Hé
camarade
Si les jeux sont faits
Au son des mascarades
On pourra
toujours se marrer
Et dans tout le long des courants d'air
On voit des
amoureux
Qui savent encore changer leurs nerfs
En un bouquet
délicieux
On en aura des saisons
Des torrides et des blèmes
Je peux
encore garder ton nom
Je peux aussi dire que j'l'aime
I can swim, let's dive again
into another screen
I could scream but the
silence
is the best scene
I can print, this picture won't tell you
what
I mean
A prayer for a wanker
I guess it's enough
I'm sure it's
enough
Just a prayer for a wanker
A prayer for a wanker
A prayer
for a wanker
I can swear, someday we'll take this other way
let me
crawl up to any big wide road
But I want to be sure
Yeah I wanna be
pure
And I carry on with an inner storm
And it's blank around
I could
stop now
But it's another dream my friend
Ou vont les persannes
Ou vont ces paires d'yeux
Ouvrez les
persiennes
La jalousie des dieux
Ouvrez, on commémore la
foudre
Ouvrez, ouvrez
Ou vont ces martiens
Ou courent ces chiens
bleus
Siroter la mer
Se faire devenir vieux
Ouvrez, et deballez
ensemble
Ouvrez, ouvrez
Un jour ils s'effilent se délitent en
sommeil
des caravanes immenses de guerriers
ondoyants qui
appellent
Petis vers grouillent grouillent grouillent
Nettoient les flûtes
des morts, curent les os
Font place nette, et l'esprit peut
flotter
Cataleptique
Elan cyclopéen
Zone inhospitalière
S'en
sortira demain
Qu'il est loin le soleil
Reflet dans la piscine aux
noyades
paisibles et sensuelles
Oh quand même on aurait pu...
Arriver
Juste dans les, juste dans les, juste dans les,
juste dans
les
Délais, délais, délais, délais, délais, délais, délais
Délais, délais,
délais, délais, délais
J'suis un mannequin glacé
Avec un teint de soleil
Ravalé, Homme
pressé
Mes conneries proférées
Sont le destin du monde
Je n'ai pas le
temps je file
Ma carrière est en jeu
Je suis l'homme médiatique
Je suis plus que politique
Je vais vite très vite
J'suis une comète humaine
universelle
Je traverse le temps
Je suis une référence
Je suis
omniprésent
Je deviens omniscient
J'ai envahi le monde
Que je ne
connais pas
Peu importe j'en parle
Peu importe je sais
J'ai les hommes
à mes pieds
Huit milliards potentiels
De crétins asservis
A part
certains de mes amis
Du même monde que moi
Vous n'imaginez pas
Ce
qu'ils sont gais
Qui veut de moi
Et des miettes de mon cerveau
Qui
veut entrer
Dans la toile de mon reseau
Militant quotidien
De
l'inhumanité
Des profits immédiats
Des faveurs des médias
Moi je suis
riche, très riche
Je fais dans l'immobilier
Je sais faire des
affaires
Y'en a qui peuvent payer
J'connais tout Paris
Et puis le reste
aussi
Mes connaissances uniques
Et leurs femmes que je...
Fréquente
évidemment
Les cordons de la bourse
Se relachent pour moi
Il n'y a plus
de secrets
Je suis le Roi des rois
Explosé l'audimat
Pulvériser
l'audience
Et qu'est-ce que vous croyez
C'est ma voie c'est ma
chance
J'adore les émissions
A la télévision
Pas le temps
d'regarder
Mais c'est moi qui les fais
On crache la nourriture
A ces
yeux affamés
Vous voyez qu'ils demandent
Nous les savons avides
De
notre pourriture
Mieux que d'la confiture
A des cochons
Qui veut de
moi
Et des miettes de mon cerveau
Qui veut entrer
Dans la toile de mon
reseau
Vous savez qui je suis
Un homme pressé
Un homme pressé
Un
homme pressé
J'suis une victime en fait
Un homme pressé
Un homme
pressé
Un homme pressé
J'suis un militant quotidien
De
l'inhumanité
Et des profits immédiats
Et puis des faveurs des
médias
Moi je suis riche, très riche
Je fais dans l'immobilier
Je sais
faire des affaires
Y'en a qui peuvent payer
Et puis je traverse le
temps
Je suis devenu omniprésent
Je suis une super référence
Je peux
toujours ram'ner ma science
Moi je vais vite, très vite
Ma carrière est en
jeu
Je suis l'homme médiatique
Moi je suis plus que politique
Car je
suis un homme pressé
Car je suis un homme pressé
Car je suis un homme
pressé
Car je suis un homme pressé
Car je suis un homme pressé
Car je
suis un homme pressé
Love Love Love
Dit-on en
Amérique
Lioubov
Russie ex-Soviétique
Amour
Aux quatre coins de
France
I can see you're young and pretty
I know it would be so easy
Any way
dark lady I feel lazy
Those afternoons are confused
I don't think that you
really chose
There's even one more reason to feel lazy
While you go
away
While you go away
While you go away
While you go away
I
could die but I could lie
I can deal with what's in your mind
Anyway, I'm
tired and I feel lazy
You know we're both lost in maze
You're miserable,
I'm so dazed
Don't you think you should feel
Suddenly
lazy
lazy
lazy
While you go away
While you go away
While you
go away
While you go away
Lazy, la, la, la, lazy
Lazy, la, la, la,
lazy
Lazy, la, la, la, lazy
While you go away
While you go
away
While you go away
Je me love dans tes bras
Et je n'aimerai que toi
A la
longue
La Je t'aime et dans tes bras
Toi si tu ne love que
moi
On prolonge
Ton manège m'enchantait
Tournoyait
Autour du
sentiment de
S'y noyer
Et la terre s'est mise à valser
Sûr que le fond
des cendriers
N'est pas net
Toi tu m'appelles au secours
Ma chère
folie et mon amour
Ma planète
Et tu veux du silence
En
veux-tu?
Des années-lumière blanches
Par dessus
Il y a le bruissement
de tes ailes
Et les grands souffles qui nous appellent
A la
longue
Toujours des fleuves qui remontent
Et des vomissures qui me
comptent
Parmis elles
L'or c'est sûr n'est pas loin
Cherche
bien
Des sutures et des points
N'y font rien
D'ou vient cette créature
en robe longue
Et cette fusée encore oblongue
Qui se
dresse
Elle est fière et droite comme un I
Qui peut deviner comment
lui
Dire qu'elle cesse
Juste le temps de battre des cils,
Un souffle, un éclat bleu,
Un
instant, qui dit mieux,
L'équilibre est fragile
J'ai tout vu
Je
n'ai rien retenu
Pendant que ton ombre
En douce te
quitte
Entends-tu les autres qui se battent
A la périphérie
Et même si
tes yeux
Dissolvent les comètes
Qui me passent une à une
Au travers de
la tête
J'y pense encore
J'y pense
A cette époque on n'écoutait
qu'à peine
Le clic-cloc des pendules
A l'heure ou je te parle
Sans
entraves... il circule
En septembre, en attendant la suite
Des carnages il
se peut, qu'arrivent la limite
J'y pense encore
J'y
pense
Ensemble, maintenant
On peut prendre la fuite
Disparus,
pfffuit
Avant qu'ils aient fait ouf
J'y pense encore
J'y
pense
J'y pense encore
J'y pense...
WHAT I FEEL,
TEAR IS IN MY HEART
YOU'RE LOOKING IN THE EYE OF A DEVIL'S
WELL
WHAT I HEAR,
TEAR IS IN MY MIND
LOOKING IN THE EYE OF A
DEVIL'S WELL
WHERE DID HE GO, SON OF A BEEN
WHY FOLLOW ON THIS LIKE A
RIVER'S STREAM,
YOU'RE BEATING IN THE HEAT OF HELL
WHAT I FEEL,
A
TEAR IS IN MY MIND
LOOKING IN THE EYE OF A DEVIL'S WELL
WHAT I
HEAR,
THIS TEAR IS IN MY MIND
LOOKING IN THE EYE OF A DEVIL'S
WELL
WHERE DID HE GO, SON OF A BEEN
WHY FOLLOW ON THIS LIKE A RIVER'S
STREAM
YOU'RE BEATING IN THE HEAT OF HELL
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YOU'RE BEATING IN THE HEAT OF HELL ...